François LEPINE PREFET de la Drôme
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Extrait de ma lettre à Jacques CHIRAC : chirac96/chirac96.html

Dans l'attentat contre mon magasin " Tentation " du 18 août 1992, cinq administrations étaient engagées. Du " beau monde " était mêlé de près ou de loin à cette opération dont trois services de renseignements français, avec la police politique en chef de file. Et que penser de la mutation promotion du chef de cabinet du préfet de la Drôme François Lépine, un certain Paul Boulvrais nommé sous-préfet de Château Chinon [58] le 5 septembre 1992 après une année de présence dans la Drôme : tout un symbole.

Face à la réalité, les français doivent-ils en conclure qu'il existe un méchant terrorisme international (étranger) et un bon terrorisme national (franco-français) qui rapporte gros y compris aux politiques ?

 

Extrait de ma lettre à Lionel JOSPIN : jospin\jospin.html

Les procédures judiciaires se sont accumulées au fil des années, systématiquement à charge pour me démolir. Par exemple le document bidon de la chambre criminelle de la Cour de Cassation du 20 mars 1991 n° F 90-80.934 D, (excusez du peu), qui n'a jamais été notifié à ce jour. Il a pourtant été officialisé par le Préfet François Lépine dans son courrier du 18 mars 1992. Cet "arrêt" ne comportant pas de partie adverse, le cabinet Waquet l'a codifiée Facchin [Faquin en écriture Corse] (annexe 2). Il était destiné à blanchir l'inspecteur de police Raymond Faquin et protéger ses obligés. Ce policier s'est autorisé à faire construire sa villa, chemin de Géry à Montélimar, sans permis de construire : à quand les bulldozers des champions de l'Etat républicain et de l'Etat de droit ?

Mon commerce, lui, était en situation légale et réglementaire. Le 18 août 1992 il a pourtant été incendié sans surprise, comme en témoigne l'annexe 3.

L'opération était conduite au commissariat de police de Montélimar par l'inspecteur de police (de la direction des r.g.) Richard Brunth assisté par d'autres policiers. Elle avait reçu l'aval de la Préfecture de la Drôme, du préfet François Lépine probablement, du sous-préfet Patrice Molle (de la direction de la Dgse) nécessairement. Cet attentat était destiné à me réduire au silence et faire tomber un officier de l'Armée de Terre, le capitaine Bernard Gardet pour incendie volontaire. Les P.V. post-incendie de l'inspecteur Richard Brunth étaient révélateurs de la mise en scène.

 

Extrait de ma lettre à Pierre TRUCHE : truche\truche94.html     page n° 5

Pas de chance Monsieur le Procureur Général TRUCHE, les services du Préfet LEPINE ont mal fonctionné, nous étions loin de la région au moment de l'incendie et la mise en scène post incendie de la Police n'était pas crédible. Pire, le 18 août 1992 alors que les cendres sont encore chaudes, ma demande d'ouverture d'information judiciaire pour crime organisé, était arrivée au Parquet de Valence (L.R. avec AR). Elle avait été postée le 17 août 1992 en même temps qu'une nouvelle lettre ouverte datée du 7 août 1992 adressée au Préfet LEPINE. Les courriers ont été adressés le 17.08.92 à Messieurs QUILES et VAUZELLE et à Monsieur le Procureur Général TRUCHE en L.R. + AR et à Messieurs BEREGOVOY, LANG, CHARASSE, KOUCHNER le 18.08.92 en lettre simple. Aucun n'a répondu. Preuve s'il en était encore besoin que le crime organisé est vraiment très bien protégé au plus haut niveau de l'Etat, toujours au Nom du peuple Français, sans doute.

 

Extrait de ma lettre à Pierre TRUCHE : truche\truche94.html        page n° 6

Toujours plus surprenant, depuis 1983 aucun magistrat instructeur ne m'a entendue. A croire que nos tribunaux n'instruisent plus et "jugent" à la tête du client. Vous savez tout cela Monsieur le Procureur Général TRUCHE et vous avez tout cautionné. De septembre 1992 au 18 juillet 1993, j'ai transmis des plaintes contre le Préfet LEPINE et les magistrats APAP (et CUER), BOULMIER, BEQUET, OBREGO à la Cour d'Appel de Paris, et le 11 novembre 1993 à la Cour d'Appel de Grenoble. Lorsque j'ai demandé une réponse sur les suites données à ces plaintes aux deux juridictions, leurs "amis" des Bouches du Rhône sont intervenus comme en 1988. Entre temps, l'otage avait disparu ce qui n'a pas empêché la "mafia" de monter au créneau par Conseil Général et Paierie des Bouches du Rhône interposés (ma lettre du 3 novembre 1993).

Il est tout de même curieux que ma lettre ouverte au Procureur de la République de la Drôme Jean Philippe n'ait suscité aucune réponse ou contestation de magistrat.

 

Extrait de ma lettre à Jacques TOUBON : toubon\Toubon.html   page n° 3 / 1

Que fait l'Etat ?
La lettre du 18 mars 1992 du Préfet de la Drôme François Lépine (pièce 17) est révélatrice du rôle du premier représentant de l'Etat dans le département. Cette lettre devait justifier ma suppression de détention d'arme à titre sportif.

Extrait de ma lettre à Jacques TOUBON : toubon\Toubon.html  page n° 3 / 2

Pourquoi le Préfet Lépine n'a-t-il pas mentionné la situation juridique à la Préfecture de ma voiture saisie depuis le 08 décembre 1988 ?
La lettre du Préfet François Lépine n'était-elle pas en fait la caution des services de l'Etat à l'organisation de l'attentat du 18 août 1992 ? Qui était le maître d'oeuvre de cet attentat au niveau de la Préfecture ?


A ce stade un historique est nécessaire pour comprendre. Le 4 septembre 1989 les représentants suivants de l'Etat ont été affectés dans la Drôme.

  • ---- A Valence :

    * le préfet François Lépine en provenance du cercle financier de préparation des Jeux Olympiques d'Alberville.

  • * le sous-préfet Patrice Molle arrivait de la Direction Générale des Services Extérieurs (D.G.S.E.).

  • ---- Au Commissariat de Montélimar :
  • * l'inspecteur Richard Brunth de la Direction des Renseignements Généraux ( R.G.) parisiens, spécialiste   (suivant ses dires) du dossier Gérard Nicoud.

    * l'inspecteur Marc Bruet de la Direction de la Sécurité du Territoire (D.S.T.).

    * l'enquêteur Gilbert Jeantet de la Police Judiciaire de Nanterre (Hauts de Seine).

    * Il faut ajouter fin 1988 et 1989, l'arrivée des inspecteurs : Nadine Cheret, Combes, Nozzio, Paoletti,   Guidicelli, Bourrely.


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