CHERET Nadine Inspecteur de police à Montélimar - Drôme
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Police Année 1988 | CHERET Nadine Inspecteur de police à Montélimar - Drôme | |
Cheret Nadine PV1 - Cheret Nadine PV2 | Paoletti Olivier | |
PV. N° 1918./1 | 07 SEP. 1989 - Outrage envers autorité Judiciaire C / BEGUIN-NICOUD Eliane |
Les pièces
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Commissaire Police : Michel Orfeuil |
Chef de l'U.P.J.A. : Raymond Faquin |
PV. inspecteur Nadine Cheret & Combe | Constat : Inspecteur Olivier Paoletti |
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PV. N° 1918./2 | 07 SEP. 1989 - AUDITION de BEGUIN-NICOUD Eliane |
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Tiré du procés verbal d'audition de l'inspecteur Nadine CHERET / Eliane NICOUD
SUR LES FAITS --- Je prends connaissance du motif de ma convocation. Le 5 septembre 1989 je suis passé au tribunal correctionnel de VALENCE pour : RESISTANCE A AGENT DE LA FORCE PUBLIQUE, a l'issue du procés j'ai été condamnée à trois mois de prison avec sursis plus une somme de 2500F à verser à Monsieur FAQUIN et 2500F à Maître REIMONEN. --- Cette affaire s'est produite le 8 décembre 1988. J'avais été convoqué pour le 30 juin au Tribunal. Mi-juin , j'ai apposé une première affiche sur la vitrine de mon magasin sis 13 rue Raymond Daujat où j'expliquai l'affaire. Debut juillet, j'ai affiché une deuxième pancarte dans laquelle je rendais compte du résultat de l'audience du 30 juin 1989. Ce jour, Maître REIMONEN était absent et la séance était reportée au 5 septembre. Le 5 septembre, j'ai donc été condamnée. --- Hier matin, à l'ouverture de mon magasin, j'ai affiché une feuille relatant ma condamnation, les sommes que je devais verser et quelques commentaires. J'ai posé cette affiche comme je l'avais fait les précédentes fois pour expliquer l'affaire. --- Dans la dernière affiche, j'ai écrit " la cause étant entendue d'avance". Je vais m'expliquer sur ce termes. Je signale que dans cette affaire, je ne me suis pas faite représenter par un avocat. Je me suis défendue seule. Depuis le 30 juin, je demandais à avoir copie des procès verbauxl. J'ai écrit à ce sujet six lettres auquelles je n'ai jamais eu de réponse. Il y a toujours un blocage de la part de la Justice. Les magistrats ne m'ont jamais donné satisfaction, hormis une personne, le greffier en chef de Monsieur APAP qui était d'accord pour me donner copie du dossier. Cependant le juge CUER, pour des raisons que j'ignore, s'est opposé à la remise des documents et m'a flanqué à la porte avec des menaces. Depuis que l'affaire a débuté, je n'ai jamais pu me défendre. D'autre part, les plaintes que j'avais déposées pour coups et blessures, transmises par le commissaire en janvier n'étaient toujours pas enregistrées au parquet de VALENCE le 26 juin 1989. Il n'y a jamais eu de suite. Celà faisait un obstacle de plus de la part de la Justice à mon encontre. Le jour du procès, Monsieur le Président BOULMIER a tout refusé les faux de REIMONEN - le certificat médical de mes blessures - les courriers de Monsieur le Procureur Général près la cour d'Appel de PARIS - le témoignage de Monsieur GARDET. J'estime que Monsieur BOULMIER a expédié ce procès. Chaque fois que je voulais m'expliquer et me défendre, il me coupait la parole. Voilà en résumé pourquoi j'ai écrit que la cause était entendue d'avance. Toutes mes affaires ont été classées lorsque j'étais victime. Lorsque je suis mise en cause, je suis immédiatement condamnée. Je constate que certains Magistrats me créent des problèmes volontairement et veulent que je laisse tomber. Dans mon affiche, j'ai également inscrit les termes suivants : "le tout courronnant une série de faux. Je tiens à préciser que ce n'était pas à l'encontre de la Justice mais à l'encontre de Maître REIMONEN. En effet, cet huissier et Monsieur FAQUIN m'ont remis un papier de saisie exécutoire non conforme à la législation. Je me suis déjà expliquer à ce sujet dans mes précédentes déclarations. Je signale que ces faux ont été volontairement oubliés par le Juge BOULMIER lors du procès. Je n'ai rien d'autre à ajouter sinon que j'aimerai que les Magistrats fassent leur travail objectivement. Lecture faite, l'intéressée persiste et signe le présent. |
Constat : Inspecteur Olivier Paoletti- Photo : Me Hernandez |
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10 DEC. 1988 | PV. de l'Inspecteur CHERET Nadine - ma plainte c/ huissier Reimonen & police Faquin |
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02 mai 1990 | Inspecteur de police CHERET Nadine enregistre ma PLAINTE contre Didier TAGNANT |
PLAINTE contre Didier TAGNANT pour chèque impayé sur crédit Mutuel PV. N° 1145
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N° 7 - POLICE - N° 66 - Inspecteur CHERET Nadine
hosting@enbg-censure.net http://enbg-censure.net/ - par Eliane Nicoud - De la Corruption au Crime d'Etat - CENSURE
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